hey hey hey! C'est moi Lei x) (merci qui? merci Loïd~) 100%

Prétentieux, hautain, condescendant, vaniteux, arrogant, séducteur, volage, gracieux, sans attache, taquin, joueur, capricieux, enfantin, gourmand, désinvolte, bordélique, fainéant, irresponsable, malchanceux, habile . Ce sont les adjectifs qui qualifient le mieux le jeune chinois pour mille et une raison qui font de son caractère ce qu'il est.

Prétentieux, hautain, condescendant, vaniteux, arrogant

Oui, surement l'une des choses les plus flagrantes chez lui, sa légendaire prétention, prétention visible jusqu'au bout de ses ongles, dans sa façon de se mouvoir comme dans sa façon de parler même. Vous voulez lui faire un compliment? lui rappeler à quel point il est beau, intelligent, merveilleux, fascinant? Jamais, au grand jamais il ne vous remerciera pour ça, non jamais, il se contentera d'un "je sais" ou seulement d'un regard supérieur à votre égard. Telle est sa façon d'être. A ses yeux il est le meilleur, personne ne peut être son égal et tous lui doivent le respect qui lui est dû. Mais pour qui se prend-t-il d'ailleurs? Et bien.. vous pouvez toujours vous risquer à lui poser cette question après avoir eu affaire à son incroyable prétention mais il ne vous répondra qu'un simple" Je me prends pour l'homme incroyable que je suis..." ou "je me prends pour ce que tu n'es, me semble-t-i, pas..." le tout accompagné d'un rire légèrement narcissique, voire peut-être moqueur.

séducteur, volage, gracieux, sans attache

Quoi encore? Lei est une personne qui sait qu'il est beau, qui sait qu'il est désirable et il se sert de cela de bien des façons pour advenir à ses fins, pour obtenir tout ce qu'il désire sans exception. Il aime séduire, pour lui cette partie de la conquête d'un autre est la plus importante, la plus sensuelle. Oui, le beau chinois est indéniablement volage, il couche à droite et à gauche mais pourtant il a de hauts critères par rapport à ses proies, il ne drague pas n'importe qui, il faut que ceux-ci aient un minimum de résistance, qu'il ait un minimum de difficulté à les séduire. Il aime aussi que les autres le regardent avec envie, que ce soit eux qui viennent vers lui dans le but d’obtenir ses faveurs mais il n'acceptera que dans de rares cas leurs avances, ne voulant pas passer pour quelqu'un de facile. Chacune de ses conquêtes savent qu'il ne s'agit là que d'une histoire d'un soir, que ça n'ira pas plus loin que ça et le matin, c'est en bon termes qu'ils se quittent, sachant que, le plus souvent, il n'y avait aucune raison qu’ils se revoient un jour pour une telle raison. Pourquoi ses relations sont toujours ainsi? Tout simplement parce que Lei ne croit pas en l'amour, pour faute de ne l'avoir jamais vécu. Mais ce n'est pas tout, il s'y refuse complètement, voyant ce sentiment plus comme une faiblesse qu'autre chose. Mais qui sait après tout... si jamais il le ressent, si jamais cela lui arrive vraiment, peut être changerait-il.

Taquin, joueur, capricieux, enfantin, gourmand

Et oui... malgré toutes ses choses qui font de lui un être plus qu'agaçant et fascinant à la fois, Lei est une espèce de grand gamin qui l'assume entièrement, même si cette partie de lui il ne la montre qu'aux quelques personnes qu’il finit par considérer, plus ou moins, comme des amis. Donc, il aime taquiner les autres, soulever leurs défauts avec légèreté et s'en moquer pendant longtemps, allant même jusqu'à créer des surnoms en accord avec ceux-ci mais.. si jamais il lui arrive de vous donner un surnom- pas forcement sympathique c'est vrai- cela voudra dire que le jeune chinois vous considère comme son ami, comme quelqu’un à qui il pourra faire confiance.... cela voudra aussi dire que vous allez devoir faire gaffe à votre nourriture car Lei, en incorrigible gourmand, n'en manquera pas une pour vous piquer tout ce qu'il aimera dans vos assiettes.... et gare à vous si jamais vous refusez de lui donner ce qu'il veut, il pourrait vous en vouloir pendant très longtemps!

désinvolte, bordélique, fainéant, irresponsable

Le jeune chinois ne ramène jamais- mais alors au grand jamais!- ses conquêtes chez lui, soit il va chez elles, soit ils les emmènent à l’hôtel. Mais pourquoi me direz-vous? Pourquoi même ses amis n'ont que rarement ce qui pourrait sembler être comme une chance immense? Et bien simplement car cela les ferait fuir plus qu'autre chose, pour la bonne raison que son appartement pourrait-être comparable à un dépotoir tant celui-ci est en désordre. Oui, vous l'auriez compris, malgré les apparences, Pan est vraiment un incorrigible! Il ne sait pas ranger même ce qui se trouve dans sa propre maison et ne parlons même pas de comment il s'habille... heureusement pour lui, en copiant plus ou moins ce qu'il voit dans les magazines, il a su comprendre comment se vêtir une fois en dehors de chez lui mais il faut savoir que c'est cela qui lui donne cette apparence un peu désinvolte qui plait tant.

malchanceux, habile

Lei est aussi un jeune garçon qui, contrairement à ce que l'on pourrait penser, a toujours été poursuivi par les problèmes, celui-ci étant doté d'une malchance que l'on pourrait presque qualifier de légendaire! Toute sa vie durant, plein de tuiles lui sont tombant dessus ou alors il tombait souvent sur des amants qu'il n'aurait pas dû fréquenter et j'en passe! C'est même à cause de sa malchance qu’il sait retrouver à faire pendant deux ans un métier plus ou moins... mal vu. Le strip tease. Pendant deux longues années, ce métier fut sa seule source de revenu, il gagnait bien sa vie c'est sûr mais il trouvait honteux pour lui de faire une telle chose, il arrêta dès qu'il le put. Il s’avérait pourtant que le jeune chinois avait une vraie habilité pour la danse, habilité cependant dont il n'aime pas se vanter.



Il y a bien une chose sur laquelle le jeune chinois n'arrive pas à être franc avec les autres -oui oui, en plus de son bordélisme et de sa gaminerie dans le cas de ses conquêtes- et c'est sur ses craintes car oui, Lei a par exemple une peur bleue des orages et ce depuis sa plus tendre enfance -c'est d'ailleurs l'un des rares moments où vous pourriez peut être le voir hurler, voir même trembler ou pleurer. Car effectivement, quand Lei entend ne serais-ce que le premier grondement d'un orage, il s'accroche à tout ce qui l'entoure, tellement fort même que ses jointures en deviennent parfois blanches ou alors, plus souvent, il se roule en boule sous ou dans un meuble en fermant les yeux, se bouchant les oreilles et il attend.. attend et attend. Mais pourtant, quand je dis qu'il ment sur ses phobies, c'est que quand un orage arrive alors qu'il est en présence d'une autre personne il cache son malaise du mieux qu'il lui est possible de le faire.

Décrire Lei? oh, ça ne devrait pas être si long que ça! Tout d'abord le jeune chinois mesure à peine plus qu'un mètre soixante-dix, une taille plus que banale pour un homme de son âge, banale mais tout de même un peu petite comparé à d'autre... Mais que dis-je? Non il n'est pas trop petit, il a juste la taille parfaite, un corps qui n'est autre qu'un appel à toute sortes de choses tant sa sensualité est enivrante. Oui, plus clairement, Lei fait partit de ses personnes, vous savez, ceux dont on a l'impression que la sensualité fait partie intégrante d'eux tellement que chacun de leurs gestes parcours notre corps de frissons que nous ne saurions contrôler, une sensualité naturelle. Cette sensualité d'ailleurs, se reflète dans chaque parcelle de son être, a commencé par ses cheveux, torrent de couleur brun aux légers reflets châtains s'écoulant avec désinvolture jusqu'au creux de ses reins. Lei est vraiment très fier ses cheveux et il en prend grandement soin, ceux-ci paraissant le plus souvent détaché car-comme vous l'aurez compris- ceci est souvent un bon moyen d'attiser ses compagnons. Il les porte le plus souvent ainsi aussi parce que c'est détaché que lui les préfère, quand il sent la plus petite des brises passer entre ses mèches avec douceur. Mais ce n'est pas comme s'il les gardait toujours détaché, non, bien sûr que non, il lui arrive tout de même assez fréquemment de s'inventer une banale queue de cheval, le plus souvent haute sur l’arrière de son crâne, dégageant ainsi encore plus son doux visage.
Je parle, je parle, je parle... mais quand est-il de ses yeux? Ses beaux yeux aux reflets aubruns passant parfois à une couleur plus sombre, encore plus énigmatique à l'habituelle quand il se trouve à l'ombre, dans l'obscurité. Ses yeux dont se dégagent un regard puissant, hautain, supérieur, inébranlable et pourtant parfois tellement lubrique. Pan marche toujours la tête haute, ses yeux ne ressortissant que d'avantage par cette action, son regard finement recouvert de long cils aussi noirs que sa pupille examinant chaque parcelle de l'endroit l'entourant, cherchant assurément une prochaine proie à dompter.

"Des cheveux noirs comme l’ébène,..."

Mettons dans le coin de notre tête toutes ses informations pour en digérer de nouvelles comme, par exemple, sa pâleur naturelle, non pas que sa peau soit aussi blanche que la neige mais cela pourrait être une comparaison plausible. Le jeune chinois a donc un teint d'un naturel vraiment très pâle et ce depuis sa plus tendre enfance, teint qui recouvre l’entièreté de son corps, ne laissant que deux petits endroits, l'un d'une couleur totalement opposé. Noir. Une mignonne petite marque de naissance d'un sombre noir qui se trouve juste là, au-dessus de sa fesse gauche, depuis qu'il est né. Une marque de naissance ayant la forme de la tête d'un panda. Originale, non? Mais il y aussi.... autre chose, dans son dos, je dirais même lui parcourant le dos en diagonale, de haut en bas. Une profonde cicatrice qui malgré les années passées, n'est jamais partit. Ces deux éléments plus qu'important de son apparence ne sont que davantage ressortis par cette peau qui n'a jamais voulu, non jamais, bronzé.

"Des cheveux noirs comme l’ébène, une peau blanche comme la neige,..."

Si je continuais sur ma lancé de plus tôt je devrais maintenant vous parler de ce petit nez qui est le sien, celui qui se dresse fièrement au milieu de son visage, avec une perfection plus que vaniteuse mais aussi de ses mimiques toute mignonne qu'il a l'habitude faire une fois seul, alors qu'il réfléchit ou qu'il est contrarier. Mais il faudrait surtout que je vous parle de ses lèvres, de ses belles et douces lèvres à peine plus rosée que sa peau mais pourtant si sensuelle dans leur façon de s'entrouvrir et de laisser passer les mots les uns après les autres dans un ton tout autant sensuel. Les gens n'ont qu'une envie, être à la place de la petite cuillère de Lei quand celui-ci la passe et repasse entre ses lèvres avec gourmandise.

"Des cheveux noirs comme l’ébène, une peau blanche comme la neige, et non! Loupé, pas de lèvres rouges comme le sang"

Juste une nuit comme toutes celles qu’il passait depuis maintenant au moins deux ans. Deux longues années où ces danses, ce boulots, ces clients, lui pourrissait la vie. Certes, il s'était peut être lié d'amitié avec certains de ces camarades, cela n'empêchais pas qu'il considérait - et ce depuis le début - ce job comme une honte pour lui, pour quelqu'un de son "importance". Mais ce fut, bien heureusement pour lui pas une situation qui allait durer encore longtemps... Oh, je m'en rends compte. Je vous raconte tout depuis le milieu de l'histoire, non, pour que vous compreniez, il faut que je remonte bien avant ça, le jour de sa naissance...

Il était une fois.... non, ce début ne convient pour commencer son histoire, ce début inclurait un beau conte ou à la fin, un doux et heureux happy end viendrait nous bercer dans cette illusion que le monde est parfait. Non. La vie de Lei n'a pas son happy end et ne l'aura peut-être jamais, ce n'est pas un conte..... Un jour, un jour de printemps qui aurait dû surement être illuminé d’un joli petit soleil, Lei naquit alors qu'une fine pluie coulait sans cesse depuis l'aurore... pluie qui dura toute la journée de sa naissance. C'est d'ailleurs à cause -ou grâce?- à ce drôle d’évènement que ses parents décidèrent de nommer Pan Lei ainsi (Pan~> eau; Lei~> Pluie). A cette époque, tout allait encore merveilleusement bien pour jeune couple maintenant accompagné d'un mignon petit garçon et cela aurait pu durer pendant très très longtemps... mais hélas, la "légendaire" malchance de notre jeune Lei commença peu à peu à faire son apparition dans sa vie... Ce n'était que des petites choses insignifiantes au début, une chute de temps en temps, des gens... malintentionnés lui proposant milles et une chose, quelques babioles qui disparaissaient, des maladies qu'il attrapait facilement mais jamais rien de grave. Il faut savoir, qu'à cette époque, Pan était tout ce qu'il y a de plus mignon et timide... il aurait dû rester ainsi. Ses parents s’inquiétaient donc un peu pour leur petit Lei qui, plus le temps passait, n'avait l'air de n'avoir que de problèmes.... et puis le drame arriva.
Notre jeune chinois, alors âgé d'à peine plus qu'une dizaine d'années, monta pour l'une des première fois de sa vie à l'avant de la voiture, sans siège pour enfant alors que son père conduisait. Autant vous dire, il était tout content, tout excité à l'idée de cette première fois. Il n’arrêtait tout simplement pas de jacasser, ce qui faisait bien évidemment rire son père d'un doux rire attendrit. Mais voilà, même si il trouvait cela amusant le M. Shao.... il se retrouvait aussi extrêmement déconcentré par son mignon petit garçon aux grands yeux sombres. C'est pour ça, du moins c'est ce dont Lei est persuadé, que l'accident eut lieu... c'est pour ça que, ne regardant pas devant lui, il percuta un camion. Ce fut le jour déjà mort du père de Pan. Il ne s'en souvient pas vraiment, pout lui il s'agit encore d'un évènement assez flou malgré les années qui sont passées depuis et la seul chose et une chose dont il se souvient ce sont les cris, la douleur et le visage figé de son père que la vie avait quitté. Il ne fut pas le seul à être horriblement triste après cet évènement, sa mère le fut tout autant que lui, voire je dirais même bien plus que lui! Elle tomba peu à peu dans a dépression, de dépérissant sou ses yeux inquiets de son fils dont elle ne s'occupait pratiquement plus, le rendant sans cesse responsable de la mort de son époux.

Plus le temps passait, plus l'était de Mme Shao empirait, elle ne sortait plus, ne faisait plus rien et désormais c'était Pan qui devait s'occuper de tout à la maison comme les tâches ménagères, les factures, les courses etc. C'est aussi à cette époque que son affection pour les professeurs s'est fait la plus forte car alors qu'il arrivait tout juste au collège, il reçut beaucoup d'aide de quelques enseignants qui voyait bien qu'il avait des soucis. Bref, revenons à nos moutons, les choses ont vraiment empiré quand sa mère s'est mise en couple avec un homme de son âge, un de ceux qu'on préfère éviter tant il nous semble violent. Et il l'était vraiment, violent je veux dire. Au début, cet homme ne fit rien de bien grave, si ce n'est de reprendre en charge l'argent des Shao tout en continuant de laissait Lei faire les tâches ménagères. Puis il commença à dilapider tous l'argent difficilement économisé par Pan en alcool, tabac et même drogue parfois. Autant vous dire que le jeune chinois, alors à peine âgé de 15 ans se rebella pas qu'un peu contre cet homme qui se croyait tout permis dans cette maison qui n'était pourtant pas la sienne. Ce fut la première fois qu'il frappa Lei. Fort, même tellement fort que Lei en tomba au sol. Le jeune garçon se rendit enfin compte de la différence de force qu'il y avait entre lui, jeune adolescent à l'apparence frêle et lui, homme d'âge mûre au muscle grossier. Il ne faisait tout simplement pas le poids.
Cependant, une fois n'est pas coutume et maintenant qu'il avait commencé, cet homme ignoble recommença à frapper Lei sans que sa mère ne fasse quoi que ce soit pour défendre son enfant. Ne savant que faire pour se défendre, il rentra de plus en plus tard chez lui, trainant dans les rues, dans la ville ou en campagne pour passer le temps. Ce fut lors de l'une de ses sortes qu'il fit, alors que la nuit été tombé depuis longtemps, la découverte de ce club pas vraiment commun... et même je dirais la rencontre des danseurs de ce club de stip tease. Leu avait déjà beaucoup changé à cause de tous ses évènements dans sa vie, il avait perdu son âme d'enfant, sa naïveté et surtout sa timidité. Je peux vous assurer que sa rencontre avec ses personnes, surtout Johny, ce bel Américain au regard de braise, finit totalement de le transformer en une toute autre personne. Même si cette rencontre fut le fruit du hasard, ce petit groupe accepta immédiatement le petit brun dans leur communauté, le trouvant fort sympathique et... il faut l'avouer, ils lui apprirent tout sortes de choses, comme l'art de la séduction ou tout simplement comment se servir de son corps. Ils étaient cependant tous beaucoup plus âgés que lui, ayant au moins 18 ans chacun (il valait mieux pour eux vu leur actuel métier...).

En leur compagnie, Lei prit de plus en plus confiance en lui, en son apparence, à un tel point même qu’il devint au bout de quelques années un être imbu de lui-même qui ne considérait plus qu'avec dédain les autres. Il ne rentra plus du tout chez lui à partir de ce moment-là, passant tout de même parfois pendant la nuit pour leur piquer de la nourriture ou de l'argent et ainsi pouvoir vivre. Il continua aussi les cours et ce jusqu'à ces dix-huit ans car dès qu'il eut atteint la majorité, il arrêta tout, il coupa tous les ponts avec sa mère et son nouvel homme... et, à défaut de pouvoir faire autre chose que ça, il se lança dans le strip tease à son tour, rejoignant ses seuls amis dans ce métier. Et là, nous sommes deux ans après cela, alors qu'il a eu 20 ans il n'y a pas très longtemps de cela et qu'il regrette de s'être lancé dans cette branche-là alors que ses liens avec ses amis se sont détruit avec le temps, que beaucoup d'entre eux sont partit faire autre chose, n'ayant "plus l'âge". Il marchait tranquillement en bord de mer, le visage tourné vers le ciel qui cette fois ci affichait un joli petit soleil parfois caché par quelques nuages blancs quand, soudainement, une affiche lui percuta le visage. Un peu curieux, il retira cette feuille de son visage et lu ce qu'il y avait dessus en plissant les yeux. Son visage s'illumina au fur et à mesure qu'il lisait la feuille, feuille qui parlait en fait d'un boulot de prof dans un pensionnat non loin d'ici. Il s'agissait là d'une merveilleuse issue de secours pour lui, qui ne savait que faire et qui avait toujours beaucoup aimé les enseignants. Il se décida à tout quitter, disant adieu à ses amis et partit là-bas.